Résidences Valentin

L’HISTORIQUE

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Eté 1968

Sur des parcelles de terrain lui appartenant, le Département procède à quelques semaines d’intervalle, au dépôt d’un cahier des charges du projet ; à une mise en copropriété prévoyant la création de 18 lots transitoires destinés à être lotis ; à la vente à divers promoteurs de ces lots (le prix étant payé pour partie par les promoteurs par une dation en paiement correspondant à la livraison « gratuite » au Département des locaux issus des 3 lots transitoires dont le Département conservait la propriété, et la conserve à ce jour, des locaux qui correspondent, dans les grandes lignes, aux locaux des étages inférieurs du bâtiment SARRIERES d’aujourd’hui à partir desquels le Département fait fonctionner la station de Gourette et enfin à la signature, avec ces promoteurs, du règlement de copropriété qui régirait l’ensemble immobilier une fois qu’il serait achevé.

1965

Genèse du projet des Résidences du Valentin initié par Le Conseil Départemental 64 pour accompagner le développement des sports d’hiver.

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1993-1994

Un défaut d’entretien de la plateforme oblige la réalisation de travaux conséquents au niveau de la plateforme dont le Département, en sa qualité de collectivité publique ayant en charge son entretien et la copropriété des RESIDENCES DU VALENTIN se renvoyaient la responsabilité.
 
Aux termes d’un accord, le Département acceptait de payer 50% du coût de la remise en état de la plateforme à la seule condition qu’il devienne ensuite propriétaire de la plateforme et de l’escalier extérieur SARRIERES en vertu d’une cession au profit du Département de deux volumes immobiliers qui seraient détachés de l’assiette de la copropriété et vendus au Département pour le montant des travaux qu’il allait supporter au-delà de sa quote-part de copropriétaire de l’ensemble immobilier.
 
De nombreux copropriétaires étaient contre cet accord qui leur faisait perdre la seule chance de voir les tribunaux décider que le Département devait payer la totalité du coût de la remise en état de la plateforme au lieu des 50 % prévus dans l’accord.
 
Les travaux ont été néanmoins réalisés conformément à cet accord.

De 1968 à 1971

La construction se fera en un mouvement descendant et tournant : le bâtiment PALOUMERE, la passerelle, les bâtiments GER, SANCTUS, PENE MEDAA, CINTO, le parc de stationnement public, le parc de stationnement privé, l’ilot PFC1-PFC2, la station services, l’escalier extérieur SARRIERES, puis enfin le bâtiment SARRIERES.

Dans le même temps, les 18 lots transitoires étaient annulés par leurs promoteurs, au cas par cas, au profit de l’essentiel des 1 978 lots de copropriété privatifs que nous connaissons aujourd’hui et dont l’essentiel seront vendus sur plans dans le cadre de ventes dites en l’état futur d’achèvement (VEFA) à des centaines et des centaines de copropriétaires aux droits desquels viennent les près de 825 copropriétaires d’aujourd’hui.

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Décembre 1999

La copropriété achetait le lot convenu pour 550 000 francs dont 250 000 francs versés par le Département en vue de s’en voir rétrocéder une partie.

Le solde de la somme étant appelé auprès de tous les copropriétaires.

1994 - 1999

Par la suite, alors qu’un géomètre expert était chargé de travailler à une division en volumes de la copropriété allant dans ce sens, et à un toilettage de la copropriété permettant de mettre l’état descriptif de division de la Copropriété (la liste des lots privatifs et des parties communes de l’ensemble immobilier) à jour de la réalité des constructions effectivement édifiées et des libertés prises ci et là, le Département avait l’idée d’établir une liaison « piétons » entre la plateforme et le parking aérien voisin dit « Parking Anglas » ne faisant pas partie du complexe immobilier (les anciens courts de tennis), et une liaison « voitures » permettant de sortir du Parking public par l’arrière.

Le Département sollicitera donc la copropriété des RESIDENCES DU VALENTIN afin qu’elle procède à l’acquisition, auprès d’un particulier, d’un lot de copropriété occupant alors la quasi-totalité du rez-de-chaussée de l’immeuble CINTO. De ce fait, elle pouvait alors rétrocéder au Département la partie de ce lot nécessaire à la constitution d’un troisième volume immobilier qui serait également à détacher de l’assiette de la copropriété.

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vue résidence
16 octobre 2003

Parution d’un document tripartie valant :  
  • division du complexe immobilier 4 en volumes dont trois extraits de l’assiette d’origine afin d’être cédés au Département conformément aux accords intervenus ;
       
    • Volume 1 - la plateforme et ses 3 passerelles d’accès en béton armé (2 côtés pistes, 1 côté PALOUMERE)
    • Volume 2 - l’escalier extérieur Sarrières
    • Volume 3 - l’escalier intérieur Cinto
    • Volume 4 - Ies 11 bâtiments de la copropriété
 
  • toilettage de l’état descriptif de division répartissant les lots de copropriété en 11 bâtiments ;
 
  • modificatif au règlement de copropriété faisant passer le bâti du statut de partie commune générale à l’ensemble immobilier à parties commune particulière à un bâtiment ou à un groupe de bâtiments.

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